Un mois, un an
Il y a un mois, il y a un an
Le temps passe et coule
Comme un fleuve qui s'en va vers le firmament
Des etoiles scintillantes ou des amours evanescentes
Que reste t'il de ces beaux jours
Le toucher d'une main qui etale sur une autre
Une creme comme une caresse
Qui nourrit une peau comme une promesse nourrit un coeur
Un visage entrevu dans la penombre
Dans la nuit des fois ebranlee
Par le rythme persistant d'un train qui passe
Et un lac
Dans la brume matinale ou dans un crepuscule lointain
Ou` flottent gentiment des vaisseaux timides
Se hatant vers les berges pour s'y blottir
Comme un corps se blottit dans une chambre trop froide
Un soir d'hiver premature
Je dirai au temps de suspendre son vol
Mais helas cela aurait ete deja dit
Par meilleur poete
Il reste un destin de porcelaine
Beau et fragile comme un brin de bruyere
Pour les automnes ou` des amants sans faute
S'enlacent en pleurant citant Apollinaire
Mais ceci n'est il qu'un reve
D'un poete de Chine ou bien d'ailleurs
Entrevu un soir sur le lac
Cherchant un amour perdu dans un vol d'oies sauvages
La vie est elle un collier de perles
Dont le vrai prix ne peux se savoir
Lac, o mon lac
Dans tes recoins et tes berges propices
Aux promenades des couples enlacees
Offre un refuge aux reveurs malheureux.
Le temps passe et coule
Comme un fleuve qui s'en va vers le firmament
Des etoiles scintillantes ou des amours evanescentes
Que reste t'il de ces beaux jours
Le toucher d'une main qui etale sur une autre
Une creme comme une caresse
Qui nourrit une peau comme une promesse nourrit un coeur
Un visage entrevu dans la penombre
Dans la nuit des fois ebranlee
Par le rythme persistant d'un train qui passe
Et un lac
Dans la brume matinale ou dans un crepuscule lointain
Ou` flottent gentiment des vaisseaux timides
Se hatant vers les berges pour s'y blottir
Comme un corps se blottit dans une chambre trop froide
Un soir d'hiver premature
Je dirai au temps de suspendre son vol
Mais helas cela aurait ete deja dit
Par meilleur poete
Il reste un destin de porcelaine
Beau et fragile comme un brin de bruyere
Pour les automnes ou` des amants sans faute
S'enlacent en pleurant citant Apollinaire
Mais ceci n'est il qu'un reve
D'un poete de Chine ou bien d'ailleurs
Entrevu un soir sur le lac
Cherchant un amour perdu dans un vol d'oies sauvages
La vie est elle un collier de perles
Dont le vrai prix ne peux se savoir
Lac, o mon lac
Dans tes recoins et tes berges propices
Aux promenades des couples enlacees
Offre un refuge aux reveurs malheureux.
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